LA FILLE DU BENITIER
AUTEUR : Henri Antoine Verdier EDITEUR : De Borée PARUTION : 2002 « Je m'appelle Rose », dit le billet qui accompagne le bébé abandonné devant le couvent. À douze ans, « Rose Mars » est retirée de l'orphelinat pour être confiée, comme vachère, à un couple de vieux paysans, Antoine et Justine, qui la considèrent bientôt comme leur propre fille. Mais quand Justine meurt, la mère naturelle de Rose se manifeste et réclame sa fille. Rose découvre alors un tout autre univers et une vie inattendue s'ouvre à elle... Avec La Fille du bénitier, Henri-Antoine Verdier prouve qu'il est non seulement un conteur patoisant, soucieux de sauvegarder le patrimoine rural mais aussi un auteur à succès : Les Lentilles vertes et Mémoires d'un papi auvergnat tomes 1 et 2. Dans ce roman, appuyée par sa connaissance intime de la vie rurale, son imagination nous livre l'histoire émouvante de Rose. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- MON AVIS : J'ai reçu ce livre, sinon je l'aurai même ne pas remarquer à cause de sa couverture ronflante mais au final j'ai apprécié son texte qui malgré une histoire très classique a su m'emmener aux bouts de l'histoire grâce à une écriture très agréable.
L'histoire est celle d'une jeune fille abandonnée à la naissance et qui a grandi dans un couvent très strict avant d'être adopté comme vachère auprès d'un vieux couple aimant qui lui offrira tout ce qu'ils peuvent.
On s'accroche tout de suite à l'héroïne de cette histoire qui est douce et touchante avec son univers qui nous met la larme à l'œil et nous ouvre les yeux sur la misère du monde. Le cadre de l'histoire est assez rustique, un côté rural de campagne très stéréotypé qui offre un récit doux.